CALONNE-RICOUART (ETUDE HISTORIQUE SUR LA VILLE DE)

JEAN RATEL

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2000. Jules CEsar s’est-il EcriE, en traversant le cours d’eau bien connu des Calonnois : ” Fluviolus clarens ! “, autrement dit, ” le ruisseau aux eaux claires ! “, ce clarens apparaissant alors comme l’Etymologie un peu lointaine de Calonne ? Bien peu de gens ajoutent foi aujourd’hui à  cette origine mythique. Dauzat, quant à  lui, explique l’origine du nom par ” la pierre ” pour kal et ” la source ” pour onne. Mais la ville dont Jean Ratel, enfant du pays (nE à  Auchel) retrace ici l’histoire Etonnante, a bien d’autres lettres de noblesse à  nous prEsenter. Chroniqueur et romancier, ” Eclectique dans ses recherches “, l’historien de Calonne-Ricouart Etait plus habilitE que quiconque pour mener à  bien cette Etude historique : pour Evoquer ce passE de deux millEnaires, au terme duquel l’aventure industrielle contemporaine a succEdE à  la seigneurie fastueuse d’autrefois. ” Une tête sans mEmoire est une place sans garnison “, Ecrit Jean Ratel, citant NapolEon ; et pour mettre en pratique cette règle d’or, il dEveloppe (d’abondance) l’histoire, si âpre et si exaltante, de Calonne-Ricouart et celle de tout le bassin minier de la rEgion : il dEcrit les mines de Marles, avec l’extension de l’exploitation en 1900, les mines de la Clarence et la ville ” au cours de la tourmente de 1914-1918 ” ; il cite les victimes militaires de cette guerre et de la suivante. Il Evoque les terribles ” coups de poussier “, les travaux d’assainissement et la vie associative, le Graaf Zeppelin dans le ciel de la ville (le 2 juillet 1932), la drôle de guerre et les ” EvEnements ” de 1940 à  1945 ; enfin de 1947 à  1977, la gestion de M. AndrE Mancey… Il n’hEsite pas aussi, avant de rEpertorier avec prEcision les activitEs (sociales, industrielles, commerciales et artisanales…) de la citE qui est, depuis plus de deux dEcennies, face à  la rEcession minière, à  envisager l’avenir avec une foi intacte, achevant son ouvrage sur ces mots de Victor Hugo : ” Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent, ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front, ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime. “© Micberth

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