Informations complémentaires
| Caractéristiques | |
|---|---|
| Année de parution | 2025 |
| Siècle |
Inspirée par les travaux de Louis-Pierre Le Maître à la fin du siècle dernier, cette étude tente d’approfondir nos connaissances sur les maisons nobles de Melgven. Cela sous-entend les seigneuries qui, le cas échéant, leur étaient attachées, et les familles qui les ont détenues. Parallèlement, nous nous attardons sur la question plus spécifique, quoique plus ardue des armoiries. L’église paroissiale ainsi que certaines chapelles en recèlent un certain nombre qui, parfois interprétées à tort, ont altéré le discernement de ces écus, et partant de là, de l’historique de la paroisse. Les manoirs disparus sont, vous vous en doutez, en nombre plus conséquent que ceux qui subsistent, cependant ces derniers sont, dans la majorité des cas, plus représentatifs de l’emprise nobiliaire des siècles passés. Plus représentatifs parce que, dans l’ensemble, Ils ont été régulièrement habités et entretenus par leurs détenteurs, à contrario des manoirs perdus, généralement affermés très tôt et dépendant, en grande partie, de familles exogènes au terroir. Plusieurs de ces entités subsistantes ont toutefois été, à leur tour, converties en ferme dans le courant du XIXe siècle, puis cédées à la fin du siècle dernier à des particuliers relativement investis. Ceux-ci, durant deux à trois décennies, n’ont épargné ni leurs ressources, ni leur sueur afin de réhabiliter, au mieux de leur possibilités, ces éléments du patrimoine melgvinois. En toute fin d’ouvrage, figure un manoir connu de tous les promeneurs mais dont l’historique était jusque-là inexistant. Et pour cause : bien qu’estimé du XVe siècle et qualifié au cours du temps, tantôt de manoir, parfois de château, il s’agit d’un édifice roturier. A ce titre, les textes ne l’ont pas ignoré, mais sans doute catalogué comme demeure bourgeoise, lesdits textes ne s’y sont pas attardés outre mesure.
| Caractéristiques | |
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| Année de parution | 2025 |
| Siècle |