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Les nobles chanoines du chapitre d'Ainay de Lyon (1685-1789) (historique et preuves de noblesse) | |||
Eric THIOU | |||
Histoire et répertoire prosopographique du chapitre noble d'Ainay de Lyon entre 1685 et 1789. Ce livre apporte une contribution majeure à l'histoire peu connue de ces chapitres au recrutement exclusivement nobiliaire. Il renseignera en outre les historiens et généalogistes au travers des nombreuses preuves de noblesse données pour presque chaque chanoine, ainsi qu'à tout ceux qui s'intéressent à l'histoire du lyonnais.(Table des noms cités sur www.memodoc.com) | |||
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Les Gondy de Retz | |||
M. Bras-Paquin et Emile Boutin | |||
La France du XVIe siècle fut profondément marquée par l'influence de ces Italiens qui, venus de Florence, de Milan, de Turin ou d'ailleurs, jouèrent un rôle prépondérant dans l'évolution politique, économique, sociale et culturelle du royaume. Lorsque, quittant Florence au début du siècle, Antonio Gondi arriva à Lyon, plaque tournante du commerce européen d'alors, il était, certes, déterminé à s'y faire une place de marchand respecté. Qui aurait pu, cependant, penser que, grâce à l'amitié qui devait rapprocher la femme exceptionnelle qu'il allait épouser et une reine de France, florentine elle aussi, un prestigieux destin attendait sa descendance ? Tout commença par un mariage, celui de son fils Albert et de Claude-Catherine de Clermont-Dampierre, veuve du baron de Retz. De l'union de leurs destins et de leurs noms naquit, en effet, une dynastie nouvelle qui allait s'imposer. En un peu plus d'un siècle, sur un fond d'Histoire de France allant de Catherine de Médicis à Louis XIV, les hommes et les femmes de cette famille écrivirent avec passion et talent leur propre histoire. Ces Gondy de Retz, fortes personnalités, complexes et contrastées, souvent émouvantes, irritantes parfois mais ne laissant jamais indifférent. | |||
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LES PATRONS DU SECOND EMPIRE, LYON ET LE LYONNAIS | |||
Pierre Cayez et Serge Chassagne | |||
Lyon, célèbre pour ses soieries depuis la Renaissance, est, au XIXe siècle, une fois effacées (mais non oubliées) les séquelles de la terrible crise de 1793, un important foyer d'industries (textile et chimie) et de services (bancaires, ferroviaires et gaziers). La biographie sérielle d'une soixantaine d'entrepreneurs actifs à la période du Second Empire, dont plusieurs président la prestigieuse chambre de commerce locale, permet de mieux comprendre les atouts de la place qui domine largement l'espace rhodanien, et aussi l'extraordinaire accumulation de capital qui en résulte en une ou deux générations. Le paradoxe de la période est pourtant que le P.L.M. (constitué en 1857) qui relie Lyon à la Méditerranée soit l'oeuvre de (capitalistes) parisiens au détriment des Lyonnais pionniers en la matière (faut-il rappeler que le premier chemin de fer tiré par une locomotive à chaudière tubulaire arrive à Perrache en 1832 ?). Mais jusqu'à une date récente, le Crédit Lyonnais, né au Palais du commerce en 1863, était la première banque française. | |||
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LES ANCIENS CHANOINES-COMTES DE LYON | |||
L’Abbé Vachet | |||
Cet ouvrage d’un grand intérêt historique et généalogique dresse également la liste des Rois ou Princes reçus Chanoines-Comtes d’honneur ; la liste des Souverains Pontifes, des 25 cardinaux et des 130 archevêques ou évêques qui furent Chanoines-Comtes ; la liste des Doyens ; la liste des terres ou propriétés foncières appartenant au Chapitre ; la liste des 81 paroisses à la collation du Chapitre ; la description des armoiries des Chanoines-Comtes de Lyon ainsi que la liste chronologique des Chanoines-Comtes (du Xe au XVIIIe siècle). | |||
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TRAVAILLEURS ET METIERS LYONNAIS | |||
Justin Godart | |||
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LES BABOIN, DES BANQUIERS LYONNAIS DANS LA TOURMENTE DE L’HISTOIRE | |||
BABOIN JAUBERT, M. | |||
Rares sont les émigrés français, fuyant la Révolution, qui ont tenté de s'implanter dans les pays d'accueil, d'y refaire leur vie, et parfois, d'y faire fortune. La plupart se contentaient de vivoter en attendant le retour en France, et les restitutions de leurs biens. Les frères Baboin étaient d'une autre trempe. C'est le récit de cette entreprise ardue et paradoxale que leur descendant nous raconte !! | |||
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JEAN DE VAUZELLES ET LE CREUSET LYONNAIS | |||
KRAMMER, E. | |||
Analyse de la figure centrale de ce personnage, au cœur du creuset lyonnais de l’imprimerie, de la gravure et de la poésie. Une histoire familiale, sociale et politique du XVIème siècle. | |||
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DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE DES ECRIVAINS LYONNAIS, | |||
POCHE, B. | |||
Avec notices et bibliographies, plus de trois cents personnages sont étudiés. Un outil indispensable de l’histoire lyonnaise. | |||
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LA VIE PRIVEE DES NOTABLES LYONNAIS AU XIXème SIECLE, | |||
PELISSIER, C. | |||
Cet ouvrage parcourt le monde des notables lyonnais du début du XIXe siècle jusqu'en 1914 grâce à l’étude des archives privées. Un tableau magistral d’une société en pleine évolution. | |||
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LES ARBAN : GENEALOGIE D’UNE FAMILLE LYONNAISE MECONNUE | |||
ROUSSET, A. | |||
Que s'est-il donc passé le 2 septembre 1849 ? Qui était François, Arban né en 1808 ? C'est à partir de récits familiaux et de recherches généalogiques que l’auteur retrace l’histoire de cette famille lyonnaise. | |||
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LES PENNONAGES LYONNAIS – XVIe XVIIIe SIECLE | |||
ZELLER, O. | |||
L'ouvrage traite des diverses évolutions de la milice lyonnaise du xvie siècle à la Révolution, de la convivialité festive à la géostratégie anti-émeutes. Par là, l'histoire de la milice devient le miroir des relations sociales grâce aux analyses spatiales, symboliques, politiques et littéraires. | |||
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NOTES HERALDIQUES ET GENEALOGIQUES CONCERNANT LES PAYS DE LYONNAIS, FOREZ ET BEAUJOLAIS | |||
Poidebard (William) | |||
Recueil de 504 blasons et notes généalogiques sur les familles du Lyonnais, du Forez et du Beaujolais, accompagné d'un index de plus de 1 500 noms. Cet ouvrage, d'un grand intérêt tant héraldique que généalogique, complète et rectifie les renseignements de l'Armorial des Généralités ; il rassemble plusieurs centaines de blasons inédits ou présentant de notables variantes avec ceux déjà publiés, recueillis sur des cachets armoriés, des lettres de noblesse, des chartes de, mariage, des peintures ou bien encore des pierres sculptées. Il est également un complément précieux à l'Armorial Général du Lyonnais, Forez et Beaujolais, dressé par André Steyert et publié en 1860. | |||
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La famille Faivre d'Esnans et Faivre d'Arcier 1700-1996 | |||
BOIRY, H. de | |||
Cette rigoureuse recherche généalogique reconstitue avec exactitude les filiations et dresse un tableau cohérent de cette famille de Franche-Comté. | |||
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Familles et patrimoine en Beaujolais (1760-1914) | |||
Jean Large | |||
Une succession difficile à la fin du XVIIIème siècle : celle de Claude Carrand. - Une famille de laboureurs : les Chamarande. - La construction d'un grand domaine : Lacarelle. - Un grand propriétaire sous la Restauration - Jean-Marie Durieu de Lacarelle. - Les Ravatys, domaine insaisissable. - Les placements de la bourgeoisie caladoise : Les propriétés - Germain. - La lente ascension de la famille Romanet. - Le partage successoral et l'intégrité des propriétés - la famille Dugoujard de Blacé. - Une famille beaujolaise type : les Large. - Les vignerons de Lacarelle et de Milly de 1850 à 1905 - Le hameau de Buyon. - Un nouveau capitalisme : Auguste Ferdinand Hoffman. Index des noms de personnes et des noms de lieux. | |||
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ARMORIAL DES FLORENTINS A LYON A LA RENAISSANCE | |||
Michel Francou | |||
Dans son Armorial des Florentins à Lyon à la Renaissance, Michel Francou répertorie les familles florentines installées à la Renaissance dans notre ville et nous livre ainsi une page glorieuse de son histoire. En plus d'être un simple ouvrage héraldique, L'Armorial des Florentins est complété par des extraits de textes et de comptes rendus d'évènements ayant marqué la vie de Lyon pendant cette période. | |||
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Noms de famille des bocages du Centre, Berry, Bourbonnais, Limousin, Bourgogne et Lyonnais | |||
André Alabergère | |||
L'auteur nous livre ici près d'un demi-millier de noms, la quasi-totalité sans doute, ayant été recensés. Précieux et fragiles témoignages du passé, menacés de déclin, ils conservent la saveur des vieux noms de baptême, des métiers disparus, des sobriquets d'antan. On remarque les «matronymes» si singuliers de nos campagnes, souvenir émouvant de femmes du passé. Pour chaque nom, on lira le nombre de familles qui le portent aujourd'hui, le lieu d'origine, sa signification, dans le cadre d'un commentaire documenté sur la formation des noms. | |||
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Les dynasties lyonnaises, des Morin-Pons aux Mérieux, du XIXe à nos jours | |||
Bernadette Angleraud et Catherine Pelissier | |||
Le textile ne représente qu'une des cordes à l'arc de la métropole lyonnaise, dont le tissus économique intègre aussi bien la construction automobile, la chimie que les brasseries ou la bijouterie joaillerie. Dans ces secteurs, il y a des familles qui, des lendemains de la révolution française jusqu'à nos jours, se sont constituées en dynasties industrielles, faisant évoluer leur maison au gré des mutations économiques et sociales dans un contexte régional et national. | |||
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Bibliographie critique de l'histoire de Lyon depuis les origines jusqu'en 1789 | |||
Sébastien Charléty | |||
Un travail remarquablement avancé notamment en ce qui concerne la topographie Lyonnaise et l'histoire de la période romaine. | |||
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Victimes et martyrs de la Révolution en Lyonnais | |||
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Contient la liste des martyrs qui ont versé leur sang pour la religion catholique sur les places de Lyon et de Feurs, et dans les oseraies de Brotteaux. Leur nombre dépasse deux mille victimes. Dans chaque fiche est consignée ce qui a pu être recueilli : nom, prénom, date et lieu de naissance, profession, filiation, date et lieu de décès et circonstances du décès. | |||
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SEIGNEURS ET SEIGNEURIES EN LYONNAIS ET BEAUJOLAIS, des guerres de religion à la révolution | |||
Christianne Lombard Déaux | |||
Organisation, fonctionnement et vie dans les campagnes. La généralité de Lyon présente une organisation originale. La mainmise royale précoce tend à uniformiser la justice et la police dans les seigneuries. L'intendant mis en place dès 1597 à Lyon oeuvre dans ce sens. A l'époque moderne, la conjoncture économique et l'évolution des mentalités permettent à des hommes d'affaires d'acquérir une seigneurie et les honneurs qui l'accompagnent. Mais la rentabilité l'emporte malgré tout ; commence alors la réactivation des plus petits droits seigneuriaux, disparus depuis des siècles... | |||
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