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LA NOBLESSE MILITAIRE DE GUYENNE (1715-1789) DICTIONNAIRE DE BIOGRAPHIES

Thomas Flichy

LA NOBLESSE MILITAIRE DE GUYENNE (1715-1789) DICTIONNAIRE DE BIOGRAPHIES

Avide d’aventures et de conquêtes, la noblesse de Guyenne ne reste pas insensible à l’attrait des carrières militaires entre la fin du règne de Louis XIV et 1789. Les gascons se battent partout : de l’Inde au Canada en passant par l’Allemagne et les Antilles. Combattant dans des unités de prédilection comme les régiments d’Auvergne ou de Normandie mais également sensibles au raffinement du siècle, la fortune des gascons sera souvent haute en couleur. Le milieu des officiers, marqué par une perpétuelle tension entre l’ouverture et le poids des solidarités, invente un nouvel art de vivre alliant élégance et simplicité. Cet ouvrage recense le destin de près de deux mille officiers de Guyenne appartenant à six cent familles. Il apporte un éclairage inédit sur un champ de la recherche resté inexploré à ce jour.

Voir la table des noms de cet ouvrage

2007, 16 x 24, 176 p. 39€

HISTOIRE DE LA BARONNIE DE LABENNE-CAPBRETON ET DE LA VICOMTE DE MAREMNE

Francis Hirigoyen

HISTOIRE DE LA BARONNIE DE LABENNE-CAPBRETON ET DE LA VICOMTE DE MAREMNE

L’histoire de la Maremne et celle de Capbreton-Labenne, bien que n’ayant jamais eu un rôle prépondérant dans l’histoire de la Gascogne ou de l’Aquitaine, sont passionnantes car singulières et riches d’enseignements sur la véritable vie de nos ancêtres landais, du Moyen Âge à la Révolution. Francis Hirigoyen a mené de longues et minutieuses recherches qui lui ont permis de faire revivre l’étonnante vie publique, sociale, économique et juridique des habitants de ce sud-ouest landais jusqu’alors plutôt oublié des historiens. Cet ouvrage nous mène des origines jusqu’à la veille de la Révolution.

2010, 15 x 21, 324 p., 26€

DANS L'INTIMITE DES FAMILLES BORDELAISES DU XVIIIe

Stéphane Minvielle

DANS L'INTIMITE DES FAMILLES BORDELAISES DU XVIIIe

En 1781, arrivé au faite d’une carrière commerciale qui l’a rendu multimillionnaire, le négociant bordelais François Bonnaffé commande un tableau sur lequel il figure avec son épouse Jeanne Boyer et leurs sept enfants. A cette date, il a 58 ans et sa famille est représentée avec tous les attributs d'une notabilité révélatrice de l'opulence des élites bordelaises du XVIIIe. Cette image dégage un fort sentiment de concorde familiale, visible dans les regards tendres que certains enfants adressent à leurs parents, mais aussi dans leurs mains tendues ou entrelacées. La famille, fondement essentiel de l'organisation sociale et des solidarités, s'affiche ici de manière éclatante. Cet exemple particulier est une porte d'entrée idéale pour pénétrer dans l’intimité de familles dont certaines ont marqué durablement l'histoire de Bordeaux par leur réussite et leur fortune, par leur fièvre de bâtir aussi. Après un dépouillement minutieux des registres paroissiaux, d'actes notariés et de journaux intimes, il a été possible de reconstituer la majeure partie des familles des élites bordelaises du XVIIIe siècle sur plusieurs générations grâce aux techniques de la démographie historique et de la généalogie.

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2008, 15,5 x 24, 480 p., 18€

LA FAMILLE DE BARITAULT, six siècles de présence en Guyenne

A. de Baritault

LA FAMILLE DE BARITAULT, six siècles de présence en Guyenne

La famille de Baritault, venue de Vendée, appartient à la noblesse parlementaire de Guyenne. Sa filiation est suivie avec certitude à partir de Jean, qui testa en 1499. Ses membres furent jurats, avocats au Parlement, capitaines de compagnies pendant les guerres de Religion, procureur du roi au Présidial, avocats généraux à la cour des Aides, gentilhomme de la chambre du roi, mousquetaires, secrétaire du roi, conseillers au Parlement, conseillers du roi, gardes du corps du roi, président de l'académie de Bordeaux, duelliste pardonné par Louis XIV, procureur-syndic de Bordeaux, officier-combattant de la guerre d'Indépendance des Etats-Unis, émigrés pendant la Révolution, chanoines, guillotiné pendant la Terreur, maire de Bordeaux par intérim, prieurs, dame d'honneur de la reine du Portugal, conseiller général royaliste, religieuses, gentilhomme d'honneur des prétendants au trône de France, maires, moines, officiers... La famille de Baritault se partagea en six branches principales : la branche de Soulignac, éteinte en 1854 ; la branche du Carpia, aujourd'hui branche aînée ; la branche d'Arbis, éteinte en 1956 ; la branche de Campelatte, subsistante à travers un rameau ; la branche du Vignau, éteinte au XVllle siècle ; la branche protestante. L'auteur, Alain de Baritault du Carpia, a étudié l'ensemble de ces branches et rameaux, dont il donne une généalogie complète. Au-delà, c'est toute l'histoire de cette famille, l'une des plus connues et des plus anciennes de Guyenne qui est racontée dans ce livre.

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2010, 17 x 24, 316 p., 45€

La douceur des lumières : noblesse et art de vivre en Guyenne au XVIIIe

Michel FIGEAC

La douceur des lumières : noblesse et art de vivre en Guyenne au XVIIIe

Ce livre dresse un tableau de la noblesse de Guyenne à la fin du XVIIIe. L’objectif est de montrer ses transformations mais aussi de faire ressortir des clivages antagonistes. Parlementaires bordelais, grands seigneurs du Périgord vivant à la cour ou gentilshommes landais n’évoluaient pas du tout dans des mondes identiques.

2001, 310 p., 17 x 23 25.00€

LANGON (Histoire de)

l'abbé M. Lacave

LANGON (Histoire de)

1903. Cité antique comme l'attestent les vestiges gallo-romains découverts à l'emplacement de la tour de Mons, Langon fut ruinée par les Barbares en 406. Fidèle au roi de France, elle préféra subir un siège plutôt que devenir une possession anglaise, en 1154. Après de nombreux conflits, elle connaîtra enfin la paix au XVIIe siècle et entrera dans une ère de plein essor. C'est ce passionnant voyage dans le passé que propose l'abbé Marcel Lacave dans son livre " Histoire de Langon ", paru en 1903. Il fait revivre les seigneurs du lieu, le vicomte de Bouville au XIe siècle, Pierre de Gavarret qui partit en guerre contre les Albigeois, ou encore la famille de La Mothe qui fut dépouillée pour sa fidélité au roi de France en 1400. Le lecteur assistera à la lutte sans merci que ses ancêtres livrèrent pour demeurer coûte que coûte dans le royaume de France, malgré les guerres civiles ou les fléaux naturels. Un livre passionnant, émouvant aussi, qui captivera tous les amoureux du passé.© Micberth

1989, 14 X 20, 258 pages 30.00€

SOULAC-SUR-MER (Histoire de)

(anonyme)

SOULAC-SUR-MER (Histoire de)

1907. Construit autour du monastère bénédictin, le bourg de Soulac disparaît mystérieusement au XVIIe siècle on n'en trouve aucune trace dans les textes pendant près d'un siècle. C'est l'histoire passionnante de cette ville que relate un auteur anonyme, membre de la Société française d'archéologie dans son ouvrage " Souvenirs de voyage : vingt siècles du Médoc et de Soulac-sur-Mer " qui fut publié en 1907. On y apprend la réunion de la ville au royaume d'Angleterre en 1154 par le mariage d'Eléonore à Henri II, les privilèges accordés par le pape Benoît IX pour absoudre les pèlerins et donner asile aux criminels. On assiste à la construction de l'église au XIIe siècle, son ensablement au XVIIe siècle ou encore à la plantation de pins par M. Brémontier, afin de fixer les dunes. Une multitude d'événements, regroupés autour du pèlerinage à Notre Dame-de-la-Fin-des-Terres, fait de cet ouvrage un document qui passionnera les amateurs d'histoire locale.© Micberth

1989, 14 X 20, 140 pages 24.00€

LA BREDE (Le Château de)

Ch. Grouët

LA BREDE (Le Château de)

1839. Lorsque Charles Grouët écrivit sa " Notice sur le château de La Brède " en 1839, il fixa à jamais un passé grandiose. Imposante place forte dans la commune de Saint-Jean-d'Estampes, le château de La Brède donna son nom à la ville, au XVe siècle. Au XIIIe siècle, la forteresse fut entourée d'un double fossé franchi par cinq ponts-levis : elle était désormais protégée des incursions des habitants de Hauguyers. Elle entra dans le domaine des familles de l'Isle, de Pénel, ou de La Lande. On ne peut évoquer La Brède sans parler de Montesquieu qui y écrivit une partie de son oeuvre. Le lecteur trouvera dans cette notice un choix de morceaux en prose consignés par les visiteurs sur le registre de la chambre de Montesquieu. Un rapide aperçu d'un passé historique remarquable qui passionnera tous les amateurs d'histoire locale.© Micberth

1989, 14 X 20, 68 pages 18.00€

LESPARRE (Histoire de) Vol.I

MM. Clary et Bodin

LESPARRE (Histoire de) Vol.I

1912. " Entourée de marais dégageant des miasmes pestilentiels, la ville de Lesparre fut ravagée fort souvent par de terribles épidémies ",écrivaient A. Clary et P. Bodin dans leur " Histoire de Lesparre " publiée en 1912. Ainsi, à la fin du XIVe siècle, une peste terrible décima la population. Lesparre, fière de son château qui dominait le Bas-Médoc, était l'un des principaux fiefs relevant directement des ducs de Guyenne. Ses seigneurs étaient illustres, la famille de Lesparre très puissante. Mais la ville connut des épisodes sanglants : en 1548, une révolte de paysans qui fit de nombreuses victimes ; en 1569, un terrible incendie. Cet ouvrage fourmille de détails qui passionneront tous les amateurs d'histoire locale.© Micberth

1989, 14 X 20, 195 pages 22.00€

LESPARRE (Histoire de) Vol.II

MM. Clary et Bodin

LESPARRE (Histoire de) Vol.II

1912. " Lesparre est une petite ville de 800 à 900 âmes. C'est la capitale du Médoc. Son commerce consiste principalement en laine, en blé et en bestiaux ", écrivaient A. Clary et P. Bodin dans leur " Histoire de Lesparre ", parue en 1912. En 1785 à la veille de la Révolution, Lesparre vit son magnifique château disparaître, détruit sur l'ordre du représentant du peuple Ysabeau, et ses matériaux utilisés pour la construction du pont de l'Hérault et le pavage des rues de la ville. Le XIXe siècle allait être l'ère de l'aménagement de la ville : la construction de l'hôpital en 1822, l'installation de 12 réverbères à huile en 1829, l'adoption d'un projet d'adduction d'eau potable en 1867. Autant d'événements et de détails qui font de cet ouvrage un document de référence qui passionnera tous les amateurs d'histoire locale.© Micberth

1989, 14 X 20, 285 pages 33.00€

CASTELJALOUX (Histoire de)

J.-F. Samazeuilh

CASTELJALOUX (Histoire de)

1860. Protégée derrière ses hautes murailles, difficile d'accès à cause des marais qui l'entouraient, Casteljaloux fut le point stratégique idéal pour le contrôle de la région. Aussi, la ville fut-elle convoitée de tous temps par tous les partis, et les habitants vécurent sous le poids des tribus de guerre et des rançons. On découvre dans cette monographie l'importance des seigneurs de la ville, tels les puissants sires d'Albret au XIIe siècle, le château, place forte imprenable dont le démantèlement fut demandé par les habitants, en 1636, pour éviter les guerres. On assiste aux terribles conflits entre protestants et catholiques, qui décimèrent la région au XVIe siècle, à l'effondrement de la flèche et du clocher Saint-Raphaël en 1848. L'auteur relate aussi la construction d'une fontaine publique en 1725, l'assèchement des marais en 1832. Autant d'événements et de détails qui font de cet ouvrage un livre qui passionnera tous les amateurs d'histoire locale.© Micberth

1989, 14 X 20, 240 pages 28.00€

PARLEMENT ET PARLEMENTAIRES, Bordeaux au grand siècle

Caroline Le Mao

PARLEMENT ET PARLEMENTAIRES, Bordeaux au grand siècle

Ville rebelle, ville insoumise, Bordeaux fait figure, au XVIIe siècle, de môle de résistance face à l'autorité royale sans cesse grandissante. Lorsque le jeune Louis XIV se présente aux abords de la cité en 1650, il trouve portes closes pendant près de deux mois... La capitale de Guyenne joue alors l'un des plus beaux et des plus tragiques épisodes de son histoire : la Fronde. Deuxième foyer de rébellion après Paris, la cité est le refuge du parti des princes. Mais c'est oublier que le soulèvement fut initié par ceux qui sont alors les maîtres de la ville : les magistrats du parlement. Arnaud de Pontac, Bernard de Pichon, Lecomte de Latresne... Au sein de la cité, tout dit la présence et la puissance de ces hommes, des hautes tourelles du palais de l'Ombrière aux majestueuses façades du cours du Chapeau Rouge, du gibet de la place aux distributions d'aumônes, des chapelles funéraires à la procession de la Fête-Dieu... La compagnie, forte d'une centaine de magistrats, domine alors la ville, presque sans partage. La jurade, comme les autres institutions de la cité, se soumet à son autorité. Même le gouverneur de la province, le célèbre d'Epernon, aussi bien que les intendants savent que l'on ne peut braver impunément le parlement de Bordeaux. Mais cette aura peut-elle se maintenir au temps du triomphe de l'absolutisme royal ? Durant ce règne qui fut celui d'une supposée reprise en main des cours souveraines, comment réagit l'un des parlements les plus indociles du royaume ? D'une régence à l'autre, de 1643 à 1723, Bordeaux ne cesse donc d'être au coeur des préoccupations royales et le souverain garde toujours un oeil sur cette cité rebelle, sur ces magistrats gascons volontiers sujets aux mouvements d'humeur. Qu'éclate la révolte du papier timbré, et c'est un exil de quinze ans qui s'abat sur toute la compagnie. Aussi, l'histoire du parlement de Bordeaux durant la seconde moitié du xvne siècle fournitelle une clé d'analyse de la marche à l'absolutisme. Loin des déclarations péremptoires d'un Colbert ou d'un souverain soucieux d'édifier son successeur, cet ouvrage propose un regard complémentaire, sinon contradictoire, d'une réalité habituellement perçue depuis Paris. On y découvrira que le pouvoir royal use de méthodes beaucoup moins radicales qu'on ne l'a souvent cru. Le pragmatisme monarchique est fait de négociations, de retours en arrière... On compose, on évite l'affrontement direct en se ménageant relais et soutiens au sein du groupe. On comprendra surtout que l'opposition n'est que l'un des aspects de la relation roi-parlement et que ce n'en est pas le mode majeur. Rouage indispensable de la monarchie, le parlement et ses hommes sont avant tout des juges et se conçoivent d'abord comme des fidèles serviteurs du roi.

2007, 16 x 24, 380 p. 29.00€

Documents généalogiques sur les potiers d'Etain de Guyenne, Agenais, Bearn, Bordelais, Gascogne, Bigore, Perigord, Quercy, Rouergue

Yannick du Guerny

Documents généalogiques sur les potiers d\'Etain de Guyenne, Agenais, Bearn, Bordelais, Gascogne, Bigore, Perigord, Quercy, Rouergue

L'usage de la vaisselle d'étain atteint son apogée entre les XIVe-XVIIe s., dans les châteaux et demeures de grands bourgeois, fine et fastueuse et chez les autres, plus ou moins rustique ; disparition au XVIIIe s., remplacée par la faïence et la porcelaine, puis par d'autres supports, l'étain perdure encore jusqu'au XIXe s. La fabrication est le travail des estaniers, devenus pintiers, puis potiers d'étain, catégorie sociale du Tiers, de tous les niveaux de la Bourgeoisie, artisans tenant boutique de marchands. A l'origine de cette publication, l'ouvrage magistral de René Richard, consacré aux potiers d'étain du Languedoc et du Roussillon, 1988, comportant la nomenclature d'un millier de ces artisans, permettant grâce aux poinçonnage alors obligatoire des pièces, de dater et identifier les étains anciens. Les recherches sont alors entreprises par Yannick du Guerny pour le Languedoc, puis prolongée vers la Guyenne ; sur un plan généalogique, elles permettent de suivre l'évolution de ces nombreuses lignées, parfois véritables dynasties, lesquelles ont laissé de multitudes de descendants dans tous les milieux sociaux et nombreux ceux qui peuvent les repérer au nombre de leurs ancêtres.

2007, 21 x 29,7, 318 p. 70.00€

LA VIE A BORDEAUX AU XVIIIe SIECLE

Paul Butel et Jean Pierre Poussou

LA VIE A BORDEAUX AU XVIIIe SIECLE

Nulle époque de l'histoire bordelaise ne fut plus brillante que le XVIIIe siècle : son « siècle d'or », grâce au commerce des Antilles et à la redistribution des denrées en Europe. Au fur et à mesure que l'on avance dans le siècle, la vie quotidienne bordelaise en porte davantage les traces, qu'il s'agisse de l'activité du port ou de la croissance de la ville qui se transforme en une cité de pierre blanche. À travers les foires et les fêtes qui viennent animer la ville, ces impressions se concrétisent dans ces pages en une foule d'images qui témoignent du dynamisme bordelais. La plupart proviennent de sources inédites. Une large place est également faite au petit peuple, à sa vie difficile et souvent pittoresque, au monde du travail et à ses conflits. Ainsi se complètent l'éclat du grand négoce, les fortunes des parlementaires, ces seigneurs des vignes, et la complexité d'une population urbaine où ce que l'on peut déjà appeler « les classes moyennes » joue un grand rôle. Cette vie quotidienne est donc aussi, au sens plein du terme, un livre d'histoire sociale.

2007, 14 x 21, 348 p., 22.00€

LES DYNASTIES BORDELAISES, splendeur déclin et renouveau

Paul Butel

LES DYNASTIES BORDELAISES, splendeur déclin et renouveau

Au temps du Roi-Soleil, la cité portuaire de Bordeaux se lance à corps perdu dans le commerce nouvellement créé avec les Antilles. De grandes dynasties marchandes, parmi les plus prospères du royaume, marquent leur emprise sur ta ville dans les fastueux hôtels du Chapeau Rouge ou des Chartrons qui remplacent les demeures austères de la vieille ville. Mais tes destins sont inégaux et la Révolution, en faisant table rase du passé, démantèle brutalement tes plus grosses fortunes. Au XIXe siècle, une nouvelle embellie sourit aux Bordelais: le négoce des vins relance l'économie. Désormais, l'« aristocratie du bouchon » tient le haut du pavé et te commerce à l'exportation enrichit les Guestier, Barton, Lawton, de Luze, Cruse, Calvet, Schjiler... Une nouvelle société se dessine : les « Roussetins » de la vieille ville ne sont pas admis dans les cercles des Chartrons. Et le négoce britannique et allemand donne à Bordeaux des allures de ville anglo-saxonne. Les crises du XXe siècle imposent des révisions déchirantes. Le crépuscule des Chartrons semble certain mais les refondations et les fidélités dynastiques perpétuent plus d'une saga familiale de nouvelles maisons se créent. Un incontestable renouveau signe le début du XXIe siècle.

2008, 14 x 22,5, 518 p., 25€

LES DYNASTIES BORDELAISES, splendeur déclin et renouveau

Paul Butel

LES DYNASTIES BORDELAISES, splendeur déclin et renouveau

Au temps du Roi-Soleil, la cité portuaire de Bordeaux se lance à corps perdu dans le commerce nouvellement créé avec les Antilles. De grandes dynasties marchandes, parmi les plus prospères du royaume, marquent leur emprise sur ta ville dans les fastueux hôtels du Chapeau Rouge ou des Chartrons qui remplacent les demeures austères de la vieille ville. Mais tes destins sont inégaux et la Révolution, en faisant table rase du passé, démantèle brutalement tes plus grosses fortunes. Au XIXe siècle, une nouvelle embellie sourit aux Bordelais: le négoce des vins relance l'économie. Désormais, l'« aristocratie du bouchon » tient le haut du pavé et te commerce à l'exportation enrichit les Guestier, Barton, Lawton, de Luze, Cruse, Calvet, Schjiler... Une nouvelle société se dessine : les « Roussetins » de la vieille ville ne sont pas admis dans les cercles des Chartrons. Et le négoce britannique et allemand donne à Bordeaux des allures de ville anglo-saxonne. Les crises du XXe siècle imposent des révisions déchirantes. Le crépuscule des Chartrons semble certain mais les refondations et les fidélités dynastiques perpétuent plus d'une saga familiale de nouvelles maisons se créent. Un incontestable renouveau signe le début du XXIe siècle.

2008, 14 x 22,5, 518 p., 25€